Pensionnat Miyasaki
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Ici, personne n'est innocent, tout le monde à commis au moins un pêché. Et toi ? Quel sera ton secret ?
 
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 j'ai gâché le début de ma vie et sa fin n'a plus aucun sens [Terminé]

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AuteurMessage
Yasuko Tsumino

Yasuko Tsumino

Messages : 26
Date d'inscription : 26/02/2014
Age : 24
Localisation : t'as qu'à te retourner

Dingdong'zinfos
Age : 15 ans
Classe: première année
Orientation sexuelle: hétérosexuelle

j'ai gâché le début de ma vie et sa fin n'a plus aucun sens [Terminé] Empty
MessageSujet: j'ai gâché le début de ma vie et sa fin n'a plus aucun sens [Terminé]   j'ai gâché le début de ma vie et sa fin n'a plus aucun sens [Terminé] EmptyMer 26 Fév - 18:01

Yasuko Tsumino
«Ne te fie pas aux apparences...»




Devant & Derrière l'écran !



IN THE ROLE PLAY


PRÉNOM : Yasuko
NOM : Tsumino
ÂGE : 16 ans
DATE DE NAISSANCE : 17 octobre
ORIGINES : japonaise
LIEU DE NAISSANCE : Sapporo, Hokkaido, Japon
ORIENTATION : hétérosexuelle
GROUPE : joker
CLASSE : première année
POURQUOI CHOISIR CE GROUPE ?
Je copie / colle l'histoire ou ça va aller? =w=
AVATAR : Ririchiyo Shirakiin feat Inu x Boku SS



MY REAL LIFE


PSEUDO : euh... vous pouvez m'appelez Yasu! Ou comme vous voulez! ^^
ÂGE : 14 ans et bientôt 15! (en octobre)
PRÉSENCE : euh...généralement je me connecte tous les jours mais peut y'avoir des exceptions.
COMMENT T'ES ARRIVÉ ICI : Bah d'abord j'ai vu le site dans les partenariats de Fairy Tail High School puis c'est Naoki qui m'a harcelé convaincu. ^^
IDÉE/COMMENTAIRE : J'aime bien le contexte du forum! :3 Mais suis-je la seule à galérer pour le secret?
CODE :





C'est parce que je suis une vilaine gentille que je vais tout te dire...



Mon caractère, mon esprit, ce que je suis...


Mon caractère? Ha ha! Découvre tout seul! Quoi? Comment ça, c'est obligatoire? Pfff, z'êtes énervant!
Bon bah écoute lis attentivement...

Mmh, par où commencer? Bah déjà je suis violente. Quand on me cherche! Je suis comme une abeille: tu me laisses tranquille, je te touche pas, tu m'emmerde, je pique, et pas qu'un peu! Et si je t'apprécie, je te frappe moins fort suis capable de te suivre où que tu ailles. Enfin après ça dépend. Si tu es une fille, y'a pas de problème. Si tu es un garçon, c'est différent. J'ai beau avoir fait de drôles de choses avec des hommes, mais ils étaient plus âgés! J'ai jamais discuté avec un mec de mon âge, alors il se peut que je sois un peu intimidée. Bref que dire d'autre? Je suis sensible. Autant moralement que physiquement. Tu me balance une insulte, tu te prends mon poings dans ta face. Tu me frappes avec ou sans raison, bah, tu te prends mon poings dans ta face! Et si tu oses insulter ma mère, c'est pas qu'un poings que tu vas te prendre. On peut toujours essayer de parler du sujet, mais attends toi à voir une cascade à côté de toi! Ai-je tout dis? Hum... Je suis, intelligente? Enfin, je suis pas bête comme tes pieds quoi! Les miens sont intelligents tu savais pas? Je sais réfléchir! Même si j'étais qu'à l'école primaire. Et puis je comprend vite. Les choses logiques. Quand on m'explique bien. Ah oui voila j'ai trouvé! Maline! Je suis maligne! Des fois. Sinon je suis ambitieuse! Et aussi un peu têtue. Ou peut-être un peu beaucoup, ou même aussi têtue qu'ambitieuse. Bref, quand je veux quelque chose, je veux réussir! Nan, je dois réussir! Et rien ni personne ne m'en empêchera! Je fais ce que je veux d'abord! Et quand je veux, où je veux! Essaie même pas de m'en empêcher! Et puis si je te dis que j'ai raison, et bah j'ai raison! Na! Le seul truc qui m'ouvre les yeux c'est quand je réalise que j'ai fais une gaffe. Cette fois j'ai tout dis je crois. Nan! ... Ah bah si en fait.
Je serais pas un peu tête en l'air des fois? Peut-être...


Mon pysique, mon corps ce que tu vois de moi...


Mon physique? T'es aveugle ou t'as pas zieuter mon vava? Ah, ça aussi c'est obligatoire. D'accord. Donc! Je suis une jeune fille d'un mètre quarante-cinq pesant trente-cinq kilogrammes. Je suis peut être petite, mais mes bras ne sont pas du chewing-gum pour autant! Si vous lisez mon histoire vous comprendrez qu'il ne faut pas sous-estimer les petites filles! Sinon j'ai de fines et grandes jambes (pour ma taille) ainsi que de longs cheveux noirs aux reflets violacés qui contraste avec ma peau claire, la rendant encore plus blanche, avec une frange droite. Mon joli petit minois comporte une petite bouche, un petit nez ainsi que deux grands yeux violets. Non seulement j'ai une petite taille, mais en plus je suis une planche à pain! Pour les incultes pas de poitrine. Enfin si! Tout le monde a une poitrine. Même les bœufs. Bah quoi tu connais pas la poitrine de bœuf? J'ai deux petites bosses, à peine. C'est pourquoi je ne porte pas de soutiens-gorges. Mais ça ne me dérange pas le moins du monde.
Contrairement aux messieurs je me trompe?

Pour ce qui est du style vestimentaire, je ne suis pas très compliquée: une robe suffit amplement. Pour l'uniforme scolaire j'ai opté pour une robe courte noire portée sur une chemise blanche à manches longues et larges. Sans oublier mes petites chaussures fermées noires et ma paire de grandes chaussettes noires également. Hors cours, je préfère mettre une robe  pas trop moulante pour être à l'aise. Les quelques robes que j'ai ont toutes des petites bretelles. Si j'ai froid je mets un long gilet blanc en plus (quand je dis long c'est long! Presque jusqu'aux chevilles!). Les longueurs de mes robes ne vont pas plus haut que le milieu des cuisses et pas plus bas que les genoux. Mes chaussures? A par celles que je porte pour aller en cours, je n'en ai pas. Quelqu'un a déjà vu une fille en robe avec des baskets? Si la réponse est oui bah c'est pas mon cas! Et puis quelqu'un peut courir ou escalader un arbre ou un bâtiment avec des sandales ou des ballerines? Pour ceux ou celles que ça intéresse (bande de curieux) en pyjama je n'ai pas chercher longtemps: un simple chemise blanche avec quelques boutons ouverts selon la saison. Evidemment je dors pas cul-nu. Je ne mets jamais d'accessoires comme les colliers, bracelets, maquillage ou vernis à ongle! Ça ne me sert à rien.




Je vais te conter mon passé, mon présent, et mon future, à toi de m'aider à le construire! Mon secret? Ha ha ha...



You know my personality but not my story...


CHAPITRE 1 : Première erreur

J'ai vu le jour dans la ville de Sapporo, un 17 octobre. Je vivais avec mes parents dans une belle petite maison. Nous n'étions ni riches, ni pauvres. Nous étions une famille ordinaire. A un détail près : je haïssais mon père plus que tout au monde. Pourquoi tant de haine ? La réponse est simple pourtant : il battait ma mère. Ma mère qui était la personne la plus chère à mes yeux. J'aurais pu mourir pour elle. J’essayais tant bien que mal de la faire sourire en journée, quand mon père n'était pas là, mais à peine voyais-je son sourire que mon père l'arrachait en la frappant. Je n'en pouvais plus alors, un jour, j'ai laissé derrière moi la petite fille qui ne faisait que regarder en pleurant et en suppliant son père d'arrêter. Je me suis jetée sur lui, mais il m'a repoussé aussi violemment que j'en ai été assommée. A mon réveil j'étais dans un vieux hangar. Mon père ne m'avait pas attacher puisque je ne pouvais pas sortir. Il m'a séquestré pendant plusieurs mois, faisant passer mon absence pour un enlèvement. C'en était un, mais il n'avait pas précisé que c'était lui le malfaiteur. Je suis sûre que ma mère le savait, mais si elle parlait, mon père pourrait la faire payer chère. Ma mère. J'y pensais tous les jours. Je l'aimais plus que tout au monde. Et ça mon père le savait bien. Il me narguait avec ça. Il aimait me voir souffrir. Mais un jour il poussa le bouchon trop loin. Il avait enregistré ma mère le suppliant d'arrêter de la frapper. Le son de sa voix me réchauffait, mais ses paroles et ses cris me brisaient le cœur. J'ai saisi un morceau de verre brisé qui traînait et me suis jetée sur la cause de mes malheurs.

La veille, ma mère avait attendue que mon père parte pour téléphoner à la police et porter plainte pour agression et enlèvement. Elle savait qu'il me séquestrait et elle avait enfin osé parler ! La police avait donc placé un mouchard sur la voiture de mon père et savaient désormais où il était. Quand les forces de l'ordre arrivèrent près du hangar, ils entendaient des cris et des pleurs. Ils défoncèrent alors la porte et furent surpris par ce qu'ils voyaient. Ils s'attendaient à voir un homme maltraitant une gamine, mais la vérité était tout autre. C'était la gamine qui maltraitait l'homme. Et cette gamine, c'était moi. J'avais planté le morceau de verre dans la poitrine de mon père, et l'avait enfoncé jusqu'à le voir quitter ce monde de mes propres yeux. Les policiers essayaient de me séparé de mon père mais je refusais en me débattant et n'hésitais pas à blesser les policiers pour qu'ils me lâchent. Mais ils réussirent à m'immobiliser en me plaquant au sol et en me menottant. Ils tentèrent de ranimer mon père, mais en vain. J'eus un sourire aux lèvres en constatant leur défaite.


CHAPITRE 2 : C'est moi qui décide

J'ai été placé en centre de correction, jugée trop dangereuse pour être réintégrée dans une famille. Je passais mes jours dans l'attente de voir ma mère passer prendre de mes nouvelles, rien. Après plusieurs semaines, j'ai demandé au directeur si je pouvais voir ma mère, mais il m'a répondu froidement qu'aucun contact entre ma mère et moi n'était autorisé. Depuis je n'ai cessé de pleurer, de hurler, de frapper les murs pour monter mon désaccord. Mais personne ne s'intéressait à moi. Je m'en pris alors à mes camarades. Je serrais les poings et m'étais jeté sur ceux que je trouvais. Le dernier que j'avais attrapé n'a pas eu de chance. Les gardes qui tentaient de nous séparer augmentaient la colère que j'éprouvais. Je m'étais accroché au pauvre innocent et le frappait, frappait, frappait avec mes poings, j'essayais de vider ma colère sur lui. Mais mes forces ne sont pas illimité et les gardes réussirent avec beaucoup de mal à nous séparer. On m'a enfermé une semaines dans ma chambre et ce n'est qu'en sortant ce celle-ci que j'appris que tous ceux que j'ai agressé ont du être hospitalisés. Le dernier était dans le coma avant de mourir.

Mais là n'était pas le problème. Je voulais voir ma mère. Je devais la voir ! Un soir, pendant que les gardes faisaient rentrer les jeunes, je m'étais cachée derrière des buissons, juste à côté du grillages. Je ne sais plus comment j'ai fait, mais je l'ai fait. J'ai réussis à sortir et a m'échapper de cet endroit maudit ! Je courrais aussi vite que mes jambes le pouvaient. Le centre de correction n'était pas à deux pas de la ville, et Sapporo n'était pas la porte à côté. Je courais donc à côté de la route pour ne pas me faire voir des voitures au cas où on se serait déjà lancé à ma recherche, dans l'espoir d'atteindre une ville. J'ai dû courir jusqu'au levé du soleil pour atteindre la ville. Je marchais dans les rues, la ville commençait à s'éveiller, et personne ne semblait savoir qui  j'étais n'y d'où je venais. Je marchais quand une vieille dame me dit d'approcher. Vu mon état - quelques écorchures dues à ma fuite par le grillage et un peu de boue car j'ai dû ramper par terre – elle m'a proposé de me soigner et reprendre des forces. Je n'ai pas refuser. En me soignant elle n'a pas poser une question, sûrement par peur de connaître la vérité, mais elle me proposa quand même de dormir chez elle cette nuit. Mais cette nuit je n'arrivais pas à dormir, mes pensées étant envahis par les souvenirs de ma mère. Puis je réfléchissais à se que je ferais le lendemain. Je n'avais pas de nourriture ni d'argent. J'avais donc décidé de sonner de maison en maison pour être hébergée. Mais nombreux sont ceux qui ne voulaient pas m'aider. Je me blessais alors volontairement et comme par magie, plus de portes s'ouvrirent à moi. Mais je sentais que les gens se méfiaient de plus en plus. Je profitais alors des quelques hébergements qui m'étaient proposés et volais de l'argent la nuit. Je ne fuyais pas de suite car ça aurait été trop suspect. Je partais le lendemain matin en les remerciant de leur gentillesse sans qu'ils ne se doutent qu'ils leur manquaient des billets. Ainsi se passait mon quotidien pendant quelques mois, non sans changer de ville ou de village toutes les semaines. Sans le savoir, je me rapprochais de ma ville natale.

CHAPITRE 3 : Changement de méthode

Mais je ne pouvais pas vivre éternellement comme ça. Il fallait bien s'arrêter un jour. Et c'est un homme, un marchand, qui mit fin à mes ruses. Il m'avait surprise entrain de lui voler son argent. Il me dit qu'il ne dirait rien à personne si je lui donnais quelque chose en échange. Je compris bien vite ce qu'il voulait, vu la façon dont il me regardait. Si la veille on m'avait dit ce que je m’apprêtais à faire, je ne l'aurais pas cru. Mais s'il me donnais aux flics, je ne sortirais pas de prison avant longtemps. J'acceptais donc de me donner pour échapper à la cellule. Les gens se faisaient de moins en moins accueillants, et je gagnais bien plus en donnant mon corps qu'en demandant l'hospitalité. Et puis c'était moins dangereux : je n'avais plus à me blesser, et je faisais en sorte que mes clients gardent le silence. J'avais continué ma vie dans le chemin de la prostitution.

Un matin alors que je mangeais un croissant sur un banc, mes oreilles se perdirent dans une discussion entre deux dames. J'ai été attiré par leur conversation car elles parlaient d'une Mme. Itou, anciennement Mme. Tsumino, qui serait maintenant remariée depuis un an avec M. Itou. Je pensais d'abord qu'elle ne parlaient pas de la Mme. Tsumino que je connais, ma mère, mais lorsqu'elle parlèrent de son passé, je n'avais plus aucun doute. J’espérais qu'elles donnent l'adresse de là où elle habitait, mais elles ne faisaient que de la plaindre en rappelant que son mari la battait, qu'il avait enlevé leur fille unique et que quand enfin on l'avait retrouvé, elle a été placée en centre de correction, aucun contact n'était permis, et six mois plus tard la police appelle la pauvre veuve pour informer que la jeune fille a disparu du centre. Ces paroles me firent monter les larmes aux yeux. Cela faisait longtemps que je n'avais entendu quelqu'un évoqué ma mère et son passé. Mais j'étais heureuse de savoir qu'elle allait bien. Les deux dames finirent par lâcher l'information tant attendue. A peine eus-je entendu l'adresse que je couru vers un taxi pour qu'il me dépose dans la ville voisine, à Sapporo. Je ne savais pas que j'étais si proche de ma mère jusqu'à maintenant. Une fois arrivée à Sapporo, je demandais aux passants de m'indiquer où se trouvait la rue, puis une fois trouvée, je commençais à compter les numéro jusqu'à trouver la maison de ma mère. En approchant j'entendis des rires. Et dans ces rires je reconnus celui de ma mère qu'elle m'avait offert si peu de fois auparavant. Je passai au-dessus du portail et m'approchai des rires sans me faire remarquer.

CHAPITRE 4 : Dernière erreur

J'étais cachée derrière un arbre et quelques buissons. Quand je reconnus ma mère, j'eus envie de lui sauter au coups et de pleurer dans ses bras, mais quand je la vis serrer un jeune garçon dans ses bras et entendis l'homme à leurs côté dirent qu'ils avaient un merveilleux fils, mon cœur se déchira en milles morceaux. Je le sentis se remplir de haine et de jalousie. Ma mère m'avait remplacé. Je devais me venger. Je m'étais introduite sans me faire voir dans la maison et restai cachée à l'intérieur jusqu'au soir, quand tout le monde était à l'étage. L'homme était dans sa chambre, ma mère dans la salle de bain, mais aucun des deux ne pouvait me voir approcher de la chambre où dormait le garçon, un couteau à la main. Une fois dans la chambre, je me penchai au-dessus de lui, mis ma main sur sa bouche et le poignarda dans la poitrine. J'attendis qu'il rende l'âme pour retirer ma main, avant d'entendre approcher quelqu'un. Je me cachai dans l'ombre et quand je vis ma mère arriver, je fermai la porte à clef et l'immobilisa en la couchant sur le dos au sol, une main sur sa bouche, l'autre tenant le couteau en l'air, coinçant ses bras le long de son corps entre mes jambes. Les larmes n'avaient cessées de couler depuis que je l'ai vu enlacer le garçon. Ses yeux semblaient m'interroger, et je lui répondis que j'étais sa fille, que je n'avais cessé de penser à elle tout les jours, que j'avais fais d'horribles choses pour pouvoir la retrouver, mais qu'elle m'avait remplacée, et que donc elle devait mourir. Ma mère n'eut le temps de faire un geste pour se défendre que je lui plantai le couteau dans la poitrine, comme je l'avais fais à son fils, et comme je l'avais fais à mon père.

Mes cris n'étaient pas silencieux. L'homme les avait entendu et frappait la porte pour que je lui ouvre. Je retirai alors la main de la bouche de ma mère. Ça ne servait plus à rien de l'empêcher de parler puisque son mari savait ce qu'il se passait. Je voulais m'échapper par la fenêtre mais ma mère, avec ses dernières forces, me sourit, les yeux pleins de larmes, et m'avais attrapé le bras en me disant qu'elle avait adopté le garçon avec son nouveau mari pour combler l'absence de sa fille. Elle me tira vers elle et m’enlaça en disant qu'elle ne m'avait jamais oublié et qu'elle était heureuse de m'avoir vu et de m'avoir serré dans ses bras une dernière fois. Puis je sentis son dernier souffle dans mon cou. Au même instant son mari défonça la porte et cria en voyant son fils et sa femme morts. Il me saisit par le bras et me demanda en criant ce qui m'étais passé par la tête pour avoir tué ma propre mère. Il voulut m'emmener au commissariat de force mais je lui plantai le couteau dans le poignet. Il cria et lâcha prise me permettant de m'échapper par la fenêtre.

CHAPITRE 5 : Une nouvelle vie ?


Je m'étais foulé la cheville en sautant par la fenêtre, mais ce n'était rien par rapport à ce que j'éprouvais en ce moment. Malgré ma blessure physique j'avais réussis à quitter la ville. J'étais obligé de courir si je voulais échapper aux voitures de polices qui avaient été lancées quelques minutes après ma fuite. Après une demi-heure de course et une heure de marche, je m'assis au bord de la route. J'entendais les sirènes et voyais les lumières se rapprocher peu à peu. Ils avaient enfin compris que je n'étais pas restée cachée en ville. Je repensais à tout ce que j'avais fais et enduré jusque là, et cela me fit pleurer. Ma cheville me faisait énormément mal, je ne pouvais plus faire un pas. Fatiguée et attristée par les événements, je finis par m'endormir sur le sol dur et froid de la route. A mon réveil, je pensais être dans une cellule de prison, mais la pièce ressemblait plus à une chambre. J'étais allongée sur un lit. Je me redressai, balayai la pièce du regard et constatai que j'étais bel et bien dans une chambre. Puis je vis un petit mot sur le chevet où il était écrit :

« Tu es au pensionnat Miyasaki où tu resteras pour l'éternité afin de payer tes crimes. Tu fais partie du groupe du joker.
Le Maître du Jeu.»


Quand j'eus finis de lire, je déchirai le papier en milles morceaux que je laissais tomber au sol. Je pris ma tête entre mes mains et murmurai en pleurant :

Mais qu'ai-je fais ? C'est un cauchemar, n'est-ce pas ? Je vais me réveiller, retrouver maman et j'aurais à nouveau une vie normale !

Je me giflais, me pinçais, me mordais pour me réveiller, mais rien. Je sentais la douleur. Ce n'était pas un rêve, mais bel et bien un cauchemar duquel je ne pourrai sans doute jamais me réveiller.




Codage crée par Lysandre Takehisa


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Naoki Komura
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Naoki Komura

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MessageSujet: Re: j'ai gâché le début de ma vie et sa fin n'a plus aucun sens [Terminé]   j'ai gâché le début de ma vie et sa fin n'a plus aucun sens [Terminé] EmptyMer 14 Mai - 17:04


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Une validation une !
~~Pour la gentille pas si gentille Yasuko~~

Voila je te valide, se que j'avais a dire sur ta fiche est corrigé depuis un moment donc voila. Bienvenu dans le groupe intriguant des jocker ! >w<

Tu peu maintenant!!!!

♠ réserver ton avatar! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien] (mais tu l'as déjà fait toi)

♦ prendre une chambre! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

♥ te faire des amis et des ennemis! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

♣demander un rang! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]

◘ et faire une demande de RP avec quelqu'un!!! [Vous devez être inscrit et connecté pour voir ce lien]



©Code de night sky.
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